J’achève enfin le monstre Villa Vortex de Maurice G., et ce… sept ans après sa parution originale ! Grandiose.
Métacortex, la « suite » de Villa Vortex, et donc le volume II de la trilogie Liber Mundi sort en librairie en février.
Livre de la rentrée de janvier. Le seul d’ailleurs. Mais bon, qui s’intéresse encore à la rentrée littéraire française ?
Comme l’écrit si bien Maurice G. : « pratiquement plus aucun des romans produits dans l’hexagone ne suscite le moindre intérêt passé les frontières de la République des Zarzélettres ».

Résumé de l’éditeur :
L’action se déroule aux alentours des années 2020, dans une époque où une vie vaut bien moins que les munitions servant à l’anéantir. Au Québec, dans un contexte de Jihad mondial, Verlande et Voronine, duo de flics de choc, partagent leur temps entre des enquêtes sur des tueurs de flics militarisés, des enlèvements d’enfants par une organisation pédophile, des attentats aux armes de guerre et des opérations de maintien de l’ordre visant à juguler le flot sans cesse croissant d’immigrés clandestins cherchant à débarquer sur le sol américain. Verlande, né en France, est le fils d’un Waffen SS émigré de longue date au Canada. Voronine, son cadet, est le petit fils d’un membre des commandos de marine soviétique. Deux flics en guerre contre tous. Où il apparaît que la Deuxième Guerre mondiale n’a jamais cessé et qu’elle atteint au contraire son point critique aujourd’hui, dans la société en réseau. Qui débarrassera le monde de ses vermines ? Style impeccable, teinté d’une ironie subtile, dialogues incisifs, intrigues complexes, stratifiées, personnages glacés, presque déshumanisés – mais diablement efficaces.
Et, dernier point mais pas des moindres, le bouquin fait plus de 800 pages ☺

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