STUD: Laissez les ours en paix !
Pauvres ours…Cette affaire sent vraiment le coup médiatique organisé. Tout est parti de Radio Canada oà¹, comme par hasard, travaille le papa de Mlle Vachon (dire que ce monsieur est âpsychologueâ?…) Hum, câest louche. àa sent la convergence.Surtout que La Presse à bien vite embarqué en envoyant une journaliste au Stud pour « vérifier » lâignominie du lieu.De plus la photo de ladite demoiselle Vachon, que lâon retrouve dans la plupart des médias, est une jolie photo professionnelle.Pas vraiment spontané à§a.Et que dire du ton méprisant utilisé par les médias, qui jamais ne donnent la parole aux premiers intéressés, les clients du bar. Ils inciteraient plutà´t leurs auditeurs et lecteurs à aller foutre la merde dans le Village, voir m’me dans les saunas.Du sensationnalisme de bas étage en veux-tu en voilà . àa vole pas haut.Que voulez-vous ma pâtite dame, faut faire de lâaudimat! Heu⦠Pardon, il faut « informer » le public, qui a le DROIT de savoir !Mais par contre, quelle magnifique tribune médiatique donnée à la Audrey!Entrevue partout (chez Gilles Proulx entre autre, ou lâhomophobie vulgaire du journaleux rejoint presque le niveau des radios poubelles de Québec).La chambre de commerce gaie du Québec, quant à elle, ne se mouille pas, mais alors pas du tout. Au contraire, elle nivelle totalement par le bas, une fois de plus, en allant dans le sens de la majorité hétéro bien pensante boomer-bobo-450 qui pourtant ne risque pas de foutre les pieds au Stud.Et câest bien là le pire! Les chialeux veulent juste pouvoir se permettre dâ’tre homophobes sans que à§a paraisse. Ils sâen foutent de nos bars.Espérons quâun autre chien écrasé viendra bien vite faire oublier cette histoire ridicule.Laissez les ours en paix !