Salut ma gang de timilis-poulets!Imagines-vous donc qu’à matin j’ai reçu dans ma boîte à malle une lettre adressée à la comtesse de Soubirou… Qulle ne fut pas ma joie de découvrir une carte de nos chers amis Yannick et Françis… qui nous ont quitté depuis quelques jours pour aller voir au-delà de l’arc-en-ciel vouère si à Toronto y laissent rentrer les filles dans les bars de gays.L’occasion est trop belle… je dois vous faire partager leur récit de voyage qu’il m’ont promis de continuer à leur retour.« Chère comtesse Soubirou,c’est de cette lointaine contrée que les autochtones nomment Toronto, que je vous écrit. Comment décrire l’étonnement ressenti face à l’exotisme de cette population mangeuse de ketchup! Trop pitoresques, les habitants de cette bourgade se métamorphosent sous nos yeux après avoir ingéré une demi-bouteille de bière, pour devenir d’amusants personnages typiquement burlesque.Mais je dois arrêter mon récit ici, mon mari et moi repartons poursuivre notre safari urbain.Je vous entretiendrai de nos aventures à notre retour.Amitiés sincères,Claudette, marquise des hamburgerset Jeanne Dyke (la française qui entend des voix… Gigi… c’est toi là-bas dans le noir?) »Mon Dieu… des Torontois qui se métarmorphosent après avoir bu de la bière… à moins que ce soit nos deux amis qui ont abusé de cette dangereuse chose qu’est la drogue. C’t’ait Judy Garland qui avait raison… « There’s no place like home! » pis moé… en attendant, je vous quitte, fait que j’ailles peinturer mes murs à 34 degrés! Maudites vacances plattes de criss!J’vous embrasse pas… j’ai sué comme une truie pis je sens comme une aussi.Bernadette, la Michel-Ange du logis!