La Plante en mode solution : Le plan pour sécuriser le Village gay…
De l’animation de rue va permettre de retrouver de la joie dans ce Village de tapettes chialeuses!
Du financement supplémentaire pour de l’animation en hiver. Un plan de propreté sera aussi être élaboré (va-t-on réinstaller les poubelles publiques sur les trottoirs après les avoir retirés il y a 15 ans car elles débordaient et étaient prises d’assaut pas les itinérants?).
Sans compter l’excellent travail de l’équipe de concertation communautaire et de rapprochement (ECCR), et de l’équipe d’intervention (GRIP Montréal), spécialisée en prévention des violences sexuelles, et de deux personnes en intervention psychosociale de l’Équipe mobile de médiation en intervention sociale (EMMIS) et des 40 policiers déjà en place. Ça en fait du beau monde. Bon, sérieux, arrêter de chialer là!
Et laisser le monde propre avec le monde propre!
Car le réel problème du Village qui était autrefois gay, c’est l’hypocrisie politique et communautaire.
On entasse dans la même zone des centres (subventionné) à vocation sociale pour les toxicos, les itinérants, toute la merde de notre société. Quel beau hasard que l’UQAM, pouponnières de tous les suceux de subventions soit directement à côté de ce beau dépotoir humain.
On ne veut surtout pas que la merde sorte du Dépotoir. En d’autres mots, que tu sois une tapette, un transex, un toxico, un itinérant ou un pur malade mental, reste dans ton trou et n’en sors pas. On va vous mettre du pouch pouch à la lavande pour cacher l’odeur. Mais, de grâce, arrêter de chialer!
J’ai personnellement quitté le Village il y a plus de 10 ans car je ne me sentais plus en sécurité en sortant mon chien ou en allant travailler. La Plante a beau dire que c’est pire depuis la pandémie (ah oui, encore la pandémie!), le problème a toujours été le même, peu importe les politiciens en place. Car avant l’arrivée des gays, ce quartier s’appelait le Faubourg à m’lasse. Composé de la crasse canadienne-française la plus pauvre et illettré du pays. C’était déjà un dépotoir humain. Rien n’a changé.