Je termine à l’instant l’écoute de Love Never Dies et je suis tout bouleversé. Webber, en pondant une suite à sa célèbre comédie musicale Le fantôme de l’opéra, prenait le risque de se parodier, voir d’utiliser une recette toute faite.Eh bien non. Il a su créer un nouvel univers, en reprenant la même histoire, mais à 10 ans d’intervalle à Coney Islande. Ses thèmes musicaux sont tous plus superbes les uns que les autres. Ne manque que la voie de Sarah Brightman pour rendre cette oeuvre fantastigay. Mais faut pas trop en demander à Saint Jude!
L'horrible vidéo: